•  

    Être Soi-Même... 

    Être Soi-Même...

     

     

    Être Soi-Même...

    Être Soi-Même...

     

     

    Être Soi-Même...

     

    Des gens uniques, de par le monde,
    Il en naît à chaque seconde.
    Chacun de nous porte en soi
    Une chose que les autres n'ont pas.
    Les défauts et les qualités
    Font un cocktail à mélanger
    Pour obtenir ce petit goût
    Celui qui n'appartient qu'à nous.

      

    Être Soi-Même...

    Les êtres humains sont si divers
    Qu'il y a toujours sur la terre
    Quelqu'un qui trouvera en nous
    Ce qui lui manque par dessus tout.

      

    Être Soi-Même...

    Certains recherchent leurs contraires,
    D'autres, c'est leurs semblables qu'ils préfèrent
    Mais l'important c'est d'arriver
    A s'accepter tel que l'on est.

      

    Être Soi-Même...

    Et chercher à s'améliorer
    N'est pas forcément tout changer.
    Quand on commence à s'apprécier,
    L'entourage l'a vite remarqué,
    Il essaie de savoir pourquoi
    On se sent tellement sûr de soi.

      

    Être Soi-Même...

    Et tous ces gens qu'on admirait
    Finissent par nous envier.
    Car eux aussi, ils cherchent ailleurs
    Ce qu'ils possèdent à l'intérieur...

     

    Être Soi-Même...

     

    Être Soi-Même...

     

    Être Soi-Même...


    52 commentaires
  •  

    L' Age D'Aimer...L' Age D'Aimer...

    L' Age D'Aimer...

    L' Age D'Aimer...

    L' Age D'Aimer...

    L' Age D'Aimer...

    L’âge d’aimer, ça n’a pas d’âge

    Quinze ans, quarante ou davantage

    Tant que le coeur bat dans sa cage

    On a l’âge d’aimer


    L' Age D'Aimer...

     L' Age D'Aimer...


    C’est l’âge des années frivoles

    Où soudain la raison s’affole

    Lorsque le corps prend la parole

    On a l’âge d’aimer



    L' Age D'Aimer...

     

    L' Age D'Aimer...
    Si ta couleur n’est pas la mienne

    Si mon âge est distant du tien

    On s’aimera quoi qu’il advienne

    Nous avons l’âge de nos veines

    Et l’amour est notre destin

     


    L' Age D'Aimer...

     


    L' Age D'Aimer...
    Qui sait où commence, où s’arrête

    L’âge puéril, l’âge un peu bête

    Gravé dans nos coeurs et dans nos têtes

    L’âge d’aimer

     


    L' Age D'Aimer...

     


    L' Age D'Aimer...
    Lorsque, oubliant ses différences

    Le corps veut vivre ses violences,

    La peau souffrant ses impatiences,

    On a l’âge d’aimer

     


    L' Age D'Aimer...

     

    L' Age D'Aimer...

    A l’âge où le désir nous rive

    quand l’horizon perd sa dérive

    Au cri d’un “qui m’aime me suive”

    On a l’âge d’aimer


    L' Age D'Aimer...

     

    L' Age D'Aimer...
    Vois notre sol devient nuage

    On a l’enfance au fond des yeux

    Quand on aime,on a le même âge

    Le coeur fomente des orages

    Et l’amour joue avec le feu

     


    L' Age D'Aimer...

     
    L' Age D'Aimer...
    Quinze ans, quarante ou davantage

    De voyage en vagabondage

    Quand je devrai, tournant la page

    Emigrer de l’âge d’aimer,

    Je n’aurai plus aucun courage

    Je serai plus vieille que le temps...

     

      

    L' Age D'Aimer...

    L' Age D'Aimer...L' Age D'Aimer...

    L' Age D'Aimer...L' Age D'Aimer...

     

     

     


    57 commentaires
  •  Les Yeux De  L'Âme...

    Les Yeux De  L'Âme...Les Yeux De  L'Âme...

     

    Les Yeux De  L'Âme...

    Les Yeux De  L'Âme...

     

    Les yeux de l'âme


    Deux hommes, tous les deux gravement malades, occupaient la même chambre d'hôpital. L'un d'eux devait s'asseoir dans son lit pendant une heure chaque après-midi afin d'évacuer les sécrétions de ses poumons. Son lit était à côté de la seule fenêtre de la chambre. L'autre devait passer ses journées couché sur le dos.

    Les deux compagnons d'infortune se parlaient pendant des heures. Ils parlaient de leurs épouses et familles, décrivaient leur maison, leur travail, leur participation dans le service militaire et les endroits ou ils avaient été en vacances. Et chaque après-midi, quand l'homme dans le lit près de la fenêtre pouvait s'asseoir, il passait le temps à décrire à son compagnon de chambre tout ce qu'il voyait dehors.

    L'homme dans l'autre lit commença a vivre pour ces périodes d'une heure ou son monde était élargi et égayé par toutes les activités et les couleurs du monde extérieur. De la chambre, la vue donnait sur un parc avec un beau lac. Les canards et les cygnes jouaient sur l'eau tandis que les enfants faisaient voguer leurs bateaux, modèles réduits. Les amoureux marchaient bras dessus, bras dessous, parmi des fleurs aux couleurs de l'arc-en-ciel. De grands arbres décoraient le paysage et on pouvait apercevoir au loin la ville se dessiner. Pendant que l'homme près de la fenêtre décrivait tous ces détails, l'homme de l'autre côté de la chambre fermait les yeux et imaginait la scène pittoresque.

    Lors d'un bel après-midi, l'homme près de la fenêtre décrivit une parade qui passait par là. Bien que l'autre homme n'ait pu entendre l'orchestre, il pouvait le voir avec les yeux de son imagination, tellement son compagnon le dépeignait de façon vivante. Les jours et les semaines passèrent.

    Un matin, à l'heure du bain, l'infirmière trouva le corps sans vie de l'homme près de la fenêtre, mort paisiblement dans son sommeil. Attristée, elle appela les préposés pour qu'ils viennent prendre le corps. Dès qu'il sentit que le temps était approprié, l'autre homme demanda s'il pouvait être déplacé à côté de la fenêtre. L'infirmière, heureuse de lui accorder cette petite faveur, s'assura de son confort, puis elle le laissa seul.

    Lentement, péniblement, le malade se souleva un peu, en s'appuyant sur un coude pour jeter son premier coup d'oeil dehors. Enfin, il aurait la joie de voir par lui-même ce que son ami lui avait décrit. Il s'étira pour se tourner lentement vers la fenêtre près du lit. Or, tout ce qu'il vit, fut un mur!

    L'homme demanda à l'infirmière pourquoi son compagnon de chambre décédé lui avait dépeint une toute autre réalité. L'infirmière répondit que l'homme était aveugle et ne pouvait même pas voir le mur. Peut-être a-t-il seulement voulu vous encourager, commenta-t-elle.

    Epilogue : Il y a un bonheur extraordinaire a rendre d'autres heureux, en dépit de nos propres épreuves. La peine partagée réduit de moitié la douleur, mais le bonheur, une fois partagé, s'en trouve doublé. Si vous voulez vous sentir riche, vous n'avez qu'à compter, parmi toutes les choses que vous possédez, celles que l'argent ne peut acheter. Aujourd'hui est un cadeau, c'est pourquoi on l'appelle présent...

      

    Les Yeux De  L'Âme...

      

      

      

      

      

      

      

      

      

      

      

    Les Yeux De  L'Âme...

     


    51 commentaires
  •  Donner Tout...

    Donner Tout...

    Donner Tout...

     

    Donner Tout...

    Donner Tout...

     

    Donner tout
    À ceux qu'on aime
    Tous les frissons d'émotion
    Qu'on porte en nous même
    Donner tout
    Pour un amour
    Sans remords et sans regrets
    Y croire pour toujours
    Ne plus passer à côté
    De nos rendez-vous manqués
    Donner tout
    Sans réfléchir
    Jouer sa vie et tout ce qu'on a pour un sourire

      

    Donner Tout...

    Donner tout
    Dans un regard
    Plonger ses yeux dans des yeux
    Croisés pas hasard
    Donner tout
    Sans rien attendre
    Les plus belles heures de nos vie
    Ne sont pas à vendre
    S'aimer sans faire d'efforts
    Nous rend meilleurs et plus forts
    Donner tout
    Et si tu oses
    Tu sauras que tu es là pour quelque chose

     Donner Tout...

      

    Donner tout
    À ceux qui donne
    Comme un partage d'amour dans le coeur des hommes
    Donner tout
    Un simple mot
    Peut effacer la tristesse
    Qu'on a dans la peau
    Garder pour soi l'élégance
    D'un tout petit geste immense
    Après tout
    Se donner tout
    Est la seule chose sur la terre qui vaille le coup...

      

    Donner Tout...

    Donner Tout...

    Donner Tout...

    Donner Tout...

     



    49 commentaires